Car Julia, qui «ne se sent pas héritière» a découvert une situation franchement difficile en arrivant – plus de dix millions de dettes. Le groupe était déjà composé de plusieurs entités, dont l’une, Time, était portée à bout de bras par son père depuis des années. Dédiée à l’univers du cyclisme, elle était l’exception du groupe en termes d’offre et le «bébé» de Roland Cattin.
« Mon père décède, je rentre en France le jour même et je décide de prendre la suite, raconte Julia. C’était purement instinctif. Je ne me suis posé aucune question. Pourtant, mon père ne me parlait jamais de son travail et à aucun moment, de toute ma vie, je n’avais pensé à entrer dans le groupe. »