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Camille et Guillaume, naturellement



Entreprendre est-il un challenge comme les autres ? Comment réussir lorsque l’on est un duo d’associés ? Quels sont les défis à relever et écueils à éviter ? Quelle est la place de l’investisseur ? Aujourd’hui, parlons entreprenariat, bien sûr, et relation d’associés, surtout. Camille Personnat et Guillaume Prigent co-fondateurs de «The Oasis House».



Comment dès lors réussir à deux ? « Savoir s’adapter » explique Guillaume. Avis partagé par Camille qui ajoute l’importance « de la complémentarité, du respect de l’autre et de laisser l’égo de côté ». Réussir son association tient-il à l’absence de leader ? « Parfois » mais « chacun est aussi leader dans son champs de compétences ». La relation aux investisseurs, une clé ? En partie. L’investisseur peut même être un coach, « qui donne les clés pour se surpasser » confie Camille, en parlant de Pierre-Édouard Stérin, fondateur de SmartBox Groupe et d’Otium Capital, auprès de qui « The Oasis House » a en grande partie récemment levé plus de 7 millions d’euros. Ainsi, « tout seul on va plus vite, ensemble, on va plus loin » rappelle Guillaume. La preuve.


Traverser les montagnes russes ensemble


L’entreprise, un challenge comme les autres ? Non. « Entreprendre c’est se surpasser », « ce sont des montagnes russes » commentent-ils. Pour autant, « entreprendre seul, c’est triste » estime Camille. C’est certainement pour cela qu’elle a voulu s’associer dès le lancement. Naturellement, son projet est devenu le leur. 

 

Adaptation et complémentarité : deux clés d’une association réussie 


Comment dès lors réussir à deux ? « Savoir s’adapter » explique Guillaume. Avis partagé par Camille qui ajoute l’importance « de la complémentarité, du respect de l’autre et de laisser l’égo de côté ». Réussir son association tient-il alors à l’absence de leader ? « Parfois » mais « chacun est aussi leader dans son champs de compétences ». 

 

“Tout seul on va plus vite, ensemble, on va plus loin”

Dans leur expérience entrepreneuriale, la relation aux investisseurs devient aussi une clé. L’investisseur peut même être un coach, « qui donne les clés pour se surpasser » confie Camille, en parlant de Pierre-Édouard Stérin, fondateur de SmartBox Groupe et d’Otium Capital, auprès de qui « The Oasis House » a en grande partie récemment levé plus de 7 millions d’euros. Ainsi, « tout seul on va plus vite, ensemble, on va plus loin » rappelle Guillaume. La preuve.


Portrait rédigé avec ♡ par Muriel Tancrez

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